Emploi, formation et compétences
Cet observatoire est co-animé par Erwann Tison
Laurent Cappelletti
Les membres de l'observatoire
Liste des travaux de l’observatoire
Rendre l’éducation Nationale plus agile : quelques pistes de réflexion
L’éducation nationale, c’est un peu l’armée rouge avec ses légions de professeurs et ses cohortes de fonctionnaires. Avec 150.000 décrocheurs par an elle a fait la preuve de son manque d’efficacité tout en laissant se creuser d’insupportables inégalités. Pour remédier
La réforme de la formation pro est la plus importante de notre temps.
Le travail est en pleine transformation et la mutation a largement commencé. La vague technologique schumpétérienne secoue brutalement le marché du travail en modifiant la structure actuelle des emplois. L’étude la plus optimiste est celle de l’OCDE qui estime que
Faire de la formation professionnelle l’assurance chômage du XXIe siècle
Le travail va profondément muter. Le numérique produit une révolution schumpetérienne qui va faire disparaître de nombreux métiers et en faire émerger de nouveaux. Sous l’effet des progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle, les actifs vont devenir s’adapter
Sélection à l’université et pensée magique
Un matin comme tant d’autres, je pénètre dans une université française. Un étudiant me tend un tract, l’air grave. Le papier explique très sérieusement que, les étudiants diplômés ayant statistiquement plus de chance de trouver un emploi, il suffisait de
Bâtissons l’enseignement supérieur de demain
Face aux défis de la massification annoncée de ses effectifs en période de disette budgétaire, l’enseignement supérieur français doit se transformer. L’enseignement supérieur est dévalué « Les facs sont des usines à chômeurs » disait un ancien directeur de Sciences Po Paris.
Culture générale : le plafond de verre qui fait perdre des talents aux entreprises
Aujourd’hui, en entreprise, une fois arrivé à un certain niveau de responsabilité, ce sont moins les compétences métiers ou techniques qui fondent le succès (de fait, la plupart des collaborateurs les possèdent) qu’un ensemble de compétences « invisibles » souvent appelées soft