Adresser une réalité : Apaiser la douleur par un congé maladie spécifique

La santé au travail est un enjeu croissant, notamment pour les femmes confrontées à des douleurs menstruelles ou gynécologiques. En France, bien que certaines entreprises offrent un congé menstruel, aucune législation nationale n’encadre cette pratique. Avec 2/3 des salariées touchées par ces douleurs, l’absentéisme et la baisse de productivité sont préoccupants. Face à ces défis, des propositions législatives suggèrent un congé de 13 jours annuels pour les femmes souffrant de dysménorrhée, accompagné d’un meilleur accès au télétravail. La mise en œuvre de ces mesures doit se faire progressivement, tout en évitant des discriminations sur le marché du travail.

AUTEUR DE LA PUBLICATION

Eszter Karacsony

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Eszter Karácsony a été chargée de projets auprès du Directeur de l'IFRI et a également été en charge des relations institutionnelles à la Commission européenne, au Parlement européen et au Comité européen des Régions et Conseil de l’Europe. Elle est titulaire d'un Master en UE-Relations internationales et Etudes Diplomatiques du Collège d’Europe (Bruges), d'un Master en Politiques européennes et Affaires publiques de Sciences Po Strasbourg et d'un Master en Histoire contemporaine de l’Université de Strasbourg.

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