Nouvelles biotechnologies (NGT) : Enjeux réglementaires et souveraineté agro-alimentaire

L’évolution des techniques de modification du génome par génie génétique s’est accompagnée d’une rupture technologique avec l’invention de la technique CRISPR publiée dans la revue Science en 2012 par l’« Européenne » Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna, qui reçurent le Prix Nobel de Chimie 2020 pour cette avancée scientifique.

Aujourd’hui, à côté des biotechnologies de première génération du XXè siècle, dont les produits issus de transgenèse sont définis comme des organismes génétiquement modifiés (OGM) et font l’objet d’une réglementation particulière propre à chaque pays, on distingue désormais les biotechnologies actuelles de deuxième génération, les NGT (New Genomic Techniques) qui développent plusieurs techniques dont celles d’édition du génome avec des mutagenèses ciblées comme CRISPR (Clustered Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats).

La situation géopolitique des derniers mois, la pandémie de la Covid-19 mais aussi la guerre en Ukraine, ont démontré combien il était important pour un pays de pouvoir nourrir et soigner sa population en toute autonomie. Parmi les leviers disponibles, les NGT apportent des solutions innovantes pour faire progresser la santé humaine et animale ainsi que l’agriculture. Encore faudrait- il que la réglementation qui leur est appliquée ne freine pas leur développement.

Où en sommes-nous en Europe ?

Nous examinerons la situation à travers deux prismes :

1. La réglementation existante et l’évolution en cours ;

2. Les freins qui existent dans l’Union européenne (UE) pour développer des solutions innovantes biotechnologiques qui se déploient cependant ailleurs dans le monde.

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AUTEUR DE LA PUBLICATION

Catherine Regnault-Roger

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Professeur des universités émérite à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (E2S UPPA), membre de l'Académie d’agriculture de France, de l'Académie nationale de Pharmacie et du Haut Conseil des Biotechnologies (comité scientifique).

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